Les soucis superficiels sont un problème crucial.

Ça va mec ?
Moi ça roule, je suis dans le dining room de ma maison victorienne à L.ancaster City, à attendre que l'homme se réveille. Du coup, j'me dis, tiens, si je commençais un blog sur mon année extra-continentale, attendu que j'avais dit que je le ferais y'a de ça 6 mois.
Bon alors. Je bosse là :
Un joyeux établissement scolaire de 1650 élèves, ou je passe 12h par semaine (oui je sais, ma vie est dure), à faire profiter des djeunz de 16 à 18 ans de ma Frenchness. C'est marrant la plupart du temps.
Ma demeure, que je partage avec l'homme et la coloc', est grande, pleine de moquette et dénuée de toute décoration. On s'y habitue.
Demain c'est la rentrée, j'aurai sûrement quelque chose à dire.
Bisous bisous.

J'ai décidé d'assumer mon intérêt pour le moins étrange pour les japonaises. Celles qui ont pas l'air réelles tellement elles ont la peau comme le cul d'un bébé, et qui s'y mettent à 5 ou plus pour chanter et danser (toujours dans des costumes wtf).

Genre elles.